akhenaton64 Homo Habilis 1
Nombre de messages : 1196 Age : 57 Localisation (Pays,ville,etc) : belgique Date d'inscription : 17/02/2006
| Sujet: les égyptologues ( archéologues) célèbres Sam 18 Nov 2006 - 16:48 | |
| howard carterCarter Howard était un égyptologue anglais. C'était un autoditacte, jeune il apprend la peinture et le dessin. C'est à l'âge de 17 ans qu'il ira travaillé en tant que dessinateur au Fond d'exploration de l'Egypte.Il débarque au Caire en Egypte à l'âge de 17 ans. Il apprendra sur le terrain le métier de chercheur et l'écriture des hiéroglyphes. En Egypte, il aura pour tâche de reproduire sur papier les divers bas-reliefs et inscriptions, il sera ainsi inspecteur des Antiquités de Haute-Egypte au service des Antiquités du gouvernement égyptien en 1899. Un peu plus tard, avec l'aide financière d'un de ses amis, Lord Carnavon, il découvrit le tombeau jusqu'alors inviolé qui contenait le magnifique mobilier funéraire de Toutankhamon, en 1922, pharaon de la 18° dynastie. cette découverte a permis au monde de découvrir une autre facette de la vie et des trésors de l'Egypte antique. Qu'à réellement découvert Carter, dans le tombeau de Toutankhamon, un trône doré, des vases en albâtre, des grands lits en forme d'animaux, des bouquets de fleurs, des restes de chars, des bijoux, un coffre monumental qui renfermait les vases canopes qui renfermaient les viscères du pharaon Toutankhamon, des statues, 3 sarcophages dont un avec la momie du pharaon Toutankhamon etc... 3000 objets furent découverts, il aura fallu à Carter Howard 6 ans pour vider le tombeau et plus de 10 ans pour arriver à répertorier tous les objets trouvés. Toutankhamon est un des pharaons les plus connus, avec Ramsès II. Carter Howard est mort avant d'avoir pu publier les résultats de sa découverte. L'université de Yale lui a décerné le titre honorifique de Docteur en sciences.Jean-François Champollion Jean-François Champollion dit Champollion le Jeune (né le 23 décembre 1790 à Figeac, dans le Lot et mort le 4 mars 1832 à Paris) est un égyptologue français. Déchiffreur des hiéroglyphes, il est considéré comme le père de l'égyptologie. Le déchiffrement des hiéroglyphes est un travail de longue haleine : débuté avant 1807, il découvre en 1808 le principe de ligatures (regroupement) des signes. Il postule alors, sur des analogies avec l'un des dialectes coptes, l'absence de voyelles dans l'écriture égyptienne. En 1810, il émet l'idée que les signes peuvent être idéogrammes (exprimant une idée) ou phonogrammes (exprimant un son). En 1812, il établit une chronologie des écritures, les cursives (hiératique) étant une version simplifiée et postérieure aux hiéroglyphes.
En 1816, il est exilé à Figeac, en raison de ses opinions bonapartistes et doit interrompre ses recherches. Il y développe avec son frère un système d'enseignement primaire basé sur le monitorat. Il revient à Grenoble en 1817 et se marie avec Rosine Blanc.
Devenu professeur-adjoint d'histoire, il poursuit l'étude des hiéroglyphes. En 1819 il est persuadé, après l'observation des papyrus du Livre des morts que le hiératique est une simplification des hiéroglyphes. À partir de 1821, il déchiffre les premiers cartouches royaux dont celui de Ptolémée V sur la pierre de Rosette, puis celui de Cléopâtre sur la base d'un obélisque et sur un papyrus bilingue. Il faudra encore deux ans à Champollion pour publier son Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens et ouvrir les portes de l'égyptologie scientifique.De 1828 à 1830, il réalise enfin son rêve : il part pour une mission scientifique en Égypte et y recueille de nombreuses données et objets. De retour à Paris, il est élu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1830 et obtient la chaire d'Antiquité égyptienne au Collège de France. Il y donne sa leçon inaugurale en 1831. Cependant, épuisé par ses travaux, il meurt à Paris le 4 mars 1832 à l'âge de 42 ans et est enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris.Giovanni Battista BelzoniGiovanni Battista Belzoni, né en 1778 à Padoue (Italie) et décédé en 1823 au Bénin, est un explorateur italien. Rien ne prédestine Belzoni à devenir l'une des grandes figures de l'archéologie égyptienne. Sauf peut-être son goût inné pour l'aventure et une intelligence peu commune. Si certains l'accusent encore d'avoir pillé l'héritage de l'Égypte antique, il n'en reste pas moins l'un des pionniers de l'égyptologie. Ses découvertes et ses récits passionneront l'Occident pendant longtemps.En 1815, une mission presque impossible lui est confiée : descendre le Nil jusqu'à Thèbes et ramener un buste colossal de pharaon, le « jeune Memnon » (Ammon-Zeus), qui pèse plus de 7 tonnes. On ignore alors qu'il s'agit de Ramsès II dont la statue gît devant l'un de ses propres temples. Contre toute attente (et les menaces de Drovetti), Belzoni réussit en faisant preuve d'ingéniosité et de ténacité.De par son penchant pour l'aventure et l'exploration, Belzoni accepte d'être le pourvoyeur d'antiquités de Salt. Son instinct le pousse à aller toujours plus loin. Aussi, en l'espace de quelques années seulement, il découvre plusieurs tombes royales dans la vallée des Rois, dont celle d'Amenhotep II, Ramsès Ier, Mérenptah, Aÿ mais surtout celle de Séthi Ier (18 octobre 1817). Il visite aussi le port gréco-romain de Bérénice situé sur la mer Rouge, effectue des fouilles au temple de Mout à Karnak, exhume aussi le grand temple de Ramsès II à Abou Simbel et le 2 mars 1818, ouvre la pyramide de Khéphren à Gizeh. L'homme se passionne de plus en plus pour l'héritage de l'Égypte antique. De manière presque scientifique, il note l'emplacement de tous les éléments statuaires sur des plans. Il entre bientôt en conflit avec Salt qui est pourtant le seul à pouvoir subventionner ses fouilles. Le couple Belzoni quitte l'Égypte à la mi-septembre 1819.Le retour de Belzoni à Londres est triomphant. Il émerveille les visiteurs de l'Egyptian Hall de Piccadilly avec des reproductions grandeur nature des décors de la tombe de Séthi Ier. La copie du sarcophage qu'il fait lui permet de monter une exposition itinérante qui sillonne l'Europe de Paris à Saint-Pétersbourg (1822).
Malheureusement, et malgré ses succès, la fortune ne lui sourit pas. Il s'engage alors à trouver les sources du Niger en Afrique mais meurt de dysenterie au Bénin. Il a alors 45 ans.Gaston Maspero Gaston Maspero (né le 23 juin 1846 à Paris et décédé le 30 juin 1916) est un égyptologue français.D'origine italienne, il manifesta, dès sa prime jeunesse, des prédispositions pour les langues orientales et traduisit le texte de la stèle de Napata, rapportée par Auguste Mariette.Il découvrit les textes des pyramides en 1880. En 1871, Ahmed et lui, recherchant une chèvre égarée, avaient découvert une ouverture creusée dans le roc. En s’y glissant, Ahmed s'était trouvé face à une véritable mine d’or pour sa famille et, durant dix ans, ils avaient écoulé les antiquités qu’ils prenaient de manière mesurée. Maspero voyageait alors en Europe et ce fut donc Brugsch, conservateur-adjoint du Musée de Boulaq, qui se vit investi de la mission d’explorer cette caverne d’Ali Baba, proche de Deir-el-Bahari. Lorsqu’il y pénétra, ce qu’il vit l’ébahit : une quarantaine de momies, dont certaines appartenaient à des rois célèbres du Nouvel Empire, parmi lesquels Séthi Ier, Ramsès II, Ahmosis et Thoutmôsis II.Au début 1886, Maspero entamait les travaux de désensablement du Sphinx de Gizeh.Alors qu’il avait été nommé secrétaire perpétuel de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, Maspero continuait d’étudier à Paris et il assista à une séance le 30 juin 1916. Il s’apprêtait à prendre la parole, lorsqu’il pria l’assistance de l’excuser et se rassit. Victime d’un ultime malaise, il mourut sur son banc. Sur sa tombe est gravé Ma spero (Mais j’espère). | |
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Karmi Admin
Nombre de messages : 10896 Age : 53 Localisation (Pays,ville,etc) : Montérégie (Québec) CANADA Date d'inscription : 05/02/2006
| Sujet: Re: les égyptologues ( archéologues) célèbres Mar 21 Nov 2006 - 12:40 | |
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