Le coup de sirocco

Film d'Alexandre Arcady (1978). Dialogues : Alexandre Arcady, Jan et Daniel Saint-Hamon. Musique : Serge Franklin.

L'histoire d'une famille de "pieds noirs" de la région d'Oran, entre 1945 et l'exode de 1962.

extraits

L'histoire d'une famille de "pieds noirs" de la région d'Oran, entre 1945 et l'exode de 1962.

25 juillet 1962. Malgré le cessez-le-feu décrété le 19 mars, enlèvements et massacres d'Européens se multiplient, notamment à Oran. C'est le sauve-qui-peut. Bateaux et avions sont pris d'assaut par des centaines de milliers de personnes. L'épicier de Tadjira, Albert Narboni (Roger Hanin), pense encore rester. Mais les événements vont se précipiter. Il brade son épicerie et s'embarque pour Marseille avec sa femme, Marguerite (Marthe Villalonga), et leur fils Paul (Patrick Bruel).

[Les 500 000 F de la transaction sont en francs "anciens", c'est à dire 5 000 des francs "Pinay" en cours jusqu'en 2000. Compte tenu de l'inflation depuis 1962, cela représente 10 000 € environ.]

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L'épicier de Tadjira, Albert Narboni (Roger Hanin), sa femme Marguerite (Marthe Villalonga) et leur fils Paul (Patrick Bruel), viennent d'arriver à Marseille avec leurs quelques paquets. Sur le quai de la gare Saint-Charles, ils font appel à un porteur (Mohamed Zineth).


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J'ai connu ici des francais qui était des pieds noirs (J'avais pas trop compris l'histoire mais bon) ca leur tenait à coeur parce que derrière la voiture ils avaient un auto-collant avec deux pieds noirs.