TOUNE ROCK DE LA SEMAINE (21/8 - 27/8) - System Of A Down

Bon, demain je reprends le boulot (oui faut bien quand même lolllll) mais on va reprendre avec le tonus nécessaire, donc voici :

System Of A Down - Chop Suey

http://fr.youtube.com/watch?v=mdRd3k4CIAg

line-up :

Serj Tankian - Chanteur, clavier
Daron Malakian - Guitare et Chanteur
Shavo Odadjian - Basse
John Dolmayan - batterie

Sacré OVNI que ce groupe ! Complètement barré mais toujours avec le bon message à faire passer. Il n'y a qu'à écouter "Bomb" sur l'album "Steal this album", ou "Prison" sur l'album montré ici, et beaucoup d'autres. Serj Tankian est d'ailleurs un pote de Tom Morello (le guitariste de Rage Against The Machine), ce qui veut tout dire ! Donc ils savent être sérieux mais complètement barges aussi (pour celui qui a vu Daron Malakian sur scène, il sait de quoi je parle) Sinon pour parler du son....quel son !!!!!!! Très caractéristique du groupe, des passages de bourrin coupés par des moments mélodiques, parfois imprégnés de leur culture arménienne (Ils sont américains mais tous de souche arménienne comme on peut le voir à leurs noms de famille). Toute la discographie est à écouter, réécouter encore et encore !

System Of A Down (1998)
Toxicity (2001)
Steal This Album! (2002)
Mezmerize (18 mai 2005)
Hypnotize (22 novembre 2005)

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Avec Toxicity, System Of A Down démontre, s'il en était besoin, qu'il demeure un des groupes majeurs de la scène neo-metal de la côte Ouest des États-Unis. Bien que quelques prestations en demi-teinte disséminées çà et là sur quelques compilations et bandes originales aient failli entamer le bel enthousiasme des plus convaincus, ce deuxième opus du quarteron de Los Angeles a toutes les qualités requises pour occuper l'auditeur un bon bout de temps. À ceux qui aiment les riffs brutaux, le groupe en offre un véritable déluge, prolongeant les expériences précédentes au-delà du prévisible. À ceux qui ne sauraient se contenter de cette violence, System Of A Down montre qu'il sait aussi puiser ailleurs, du côté des instruments traditionnels et des folklores des pays de l'Est notamment, le carburant nécessaire à un "Ariels" d'anthologie qui clôt l'ensemble de façon magistrale. Tous les titres témoignent d'une évolution de la formation vers la pleine possession de ses moyens, proprement stupéfiants : Serj Tankian, en matière de chant, ne craint plus guère chez la concurrence ; quant au guitariste, Daron Malakian, il s'impose ici comme un des ténors du genre.